Vous trouverez dans cette partie les liens vers ma note d’intention, le plan détaillé, ainsi que mon article entièrement rédigé.
Punk (n.m.) : Mouvement de contestation regroupant des jeunes qui affichent des signes provocateurs (coiffures, ornements) par dérision envers l’ordre social, selon le dictionnaire Larousse.
Depuis ses débuts vers 1976, le mouvement punk ne cesse d’intriguer. Transgressant les normes de l’époque, dans la musique (The Damned et leur chanson New Rose), dans la politique (Les Sex Pistols, God Save the Queen) ou dans leur contestation de l’ordre établi, ce mouvement a inspiré plus d’un artiste et continue de les inspirer et de les influencer aujourd’hui. Bien souvent le terme punk était utilisé comme une insulte, et servait à désigner des sans-abris, drogués ou délinquants.
Néanmoins c’est l’image contestataire et marginale des punks qui perdurera et sera source d’inspiration pour de nombreux mouvements : new wave, garage, DIY… Ainsi, dans cet article, je vais m’intéresser notamment aux productions graphiques du mouvement punk, comment le définir aujourd’hui ? Il est question de revenir sur un mouvement bien marqué, de comprendre ses codes, de décrypter ce qu’il en reste actuellement et de voir comment ces idéologies punks ont évolué.
On pourra alors se demander : un graphisme punk a-t-il encore des raisons d’exister aujourd’hui ? Et si oui, quelles sont ces raisons ? Sont-elles patrimoniales, culturelles, ou créatives ?
Vous pouvez retrouver le processus de rédaction ici :